Les pages jaunes et les pages blanches

Nous ne nous connaissons pas assez, le rideaux du théâtre de l’obéissance au travail nous empêche de nous rencontrer, dans le plus de dimensions humaines possibles (notamment celle de nos projets en relations constante avec l’actualité la plus contemporaine de notre histoire humaine internationale).

Comment pouvons nous avoir plus de transparence et comment pirater l’incapacité que nous avons pour faire des rencontres plurielles et nouvelles contextualisée, c’est-à-dire par une étape préliminaire qui nous permettrait de garder un rapport de confiance avec la ou les personnes que nous avons à rencontrer pour réaliser un ou plusieurs projets. Avant de se rencontrer mutuellement de façon directe comment se connaître suffisamment grâce à un outil qui faciliterait nos rencontres respectives ?

C’est grâce à toutes ces rencontres que des projets et que de multiples réseaux inter-connectés pourront voir le jour mais nous offrir aussi avec une subtilité spontanée cette unité humaine que nous recherchons tant : je veux faire partie d’un ensemble humain qui puisse m’accepter.

Propulsé par WordPress.com.

Retour en haut ↑

%d blogueurs aiment cette page :