La hiérarchie conjoncturelle et spontanée des communautés au sein du Centre Nourricier que l’on dénomme la Mondialisation ou le Capitalisme Mondial contemporain. C’est à partir de là que les langages communautaires finissent par se classer et par se soumettre aux grades de cette même économie-monde.
En tant que communautarismes pluriels, divers, ou plus ou moins ouverts, il faut savoir que le conditionnement primordial de cette société n’offre à l’histoire des civilisations qu’elle a créé que la possibilité uni-langagière de son propre langage-monde-économique dit « Civilisé », mais il invite aussi, avant toutes choses, les éléments de toutes formes de communautés à se choisir une position au sein du complexe des 3 communautés qui se sont fondées au sein de nos premiers conditionnements identitaires.
Un chantage implicite se pose alors entre les communautés qui détiennent davantage de Pouvoir économique et entre celles qui ne détiennent pas un héritage suffisamment adapté à cette même économie pour être placées sur de hautes graduations socio-économico-professionnelles.
Entre la Révolte et/ou l’Indignation, il ne reste pour le complexe des 3 Communautés identitaires qui nous a originellement conditionnées plus que la possibilité de l’adaptation ou de l’apprentissage de cette Logique Uni-Langagière et économique qui rentre en symbiose avec tous ceux et toutes celles qui ne savent pas créer les productions nourricières dont elles restent dépendantes, ce sont celles des Productions économiques internationales actuelles, qui sont sources de la Crise Plurielle Moderne.
