Marqué(e)s par la solitude, le seul échappatoire est l’intimité de nos détresses perdues vers les ombres des conditionnements du fantasme envers la beauté sexuelle, pulsionnelle, addictive,…
Ce Fent’Homme (Fantôme) c’est comme le jet d’un emballage où la nudité prédomine de façon pulsionnelle avec les mondes du fantasme, d’un jet de sperme :
Le fantasme nous fait oublier l’identité du partenaire, on ne reconnait plus que la jouissance qui se masturbe comme la société de consommation où l’on déballe et où l’on jette.
Certaines femmes le savent comme toutes mais moins, certaines en profitent : c’est ainsi une nouvelle forme de pouvoir au sein de la société de consommation.
